Santé – Mokembaye Joël a annoncé dimanche, de quitter le pays c’est à l’occasion du 18è anniversaire de son ‘’Centre de santé Gueldangar de la vie sainte contre le SIDA et autre maladies’’ situé à Waliangone-ba, dans la commune du 7ème arrondissement à travers un point de presse tenu ce 04 juillet 2021 pour la non considération de ses produits efficaces par les autorités.
Docteur Mokembaye Joël a tout d’abord défini que le SIDA est une maladie qui fait rage en tuant plusieurs personnes d’où personne n’ignore. Jour pour jour, ce centre existe il y’a de cela 18 ans.
Jusqu’à aujourd’hui, les tchadiens ont encore les yeux fermés sur ce produit, je ne pouvais pas tromper le monde pendant 18 ans. ‘’Depuis 2008, j’avais demandé cent (100) personnes auprès du gouvernement et du ministère en charge de la santé pour les soigner gratuitement pendant six (6) mois pour voir est-ce qu’il n’aura pas une personne qui serait guérie parmi ces cent (100) patients, demandés comme preuve de l’efficacité de mon produit auprès de des derniers, mais les docteurs et le ministère ont complètement rejeté ma demande » affirme-t-il
Cependant, il avait adressé une autre correspondance demandant deux (2) jours de soin à l’hôpital de référence nationale de N’Djaména, mais en vain. Cela ne l’a pas fait empêché de faire de plaidoyer. Il a eu demandé des émissions radiophoniques à la radio Tchad dans l’émission ‘’Signe de Temps’’ et à la télévision tchadienne, mais les médecins tchadiens ont envoyé une correspondance dans des radios et télévisions de lui interdire de faire les émissions, simplement à cause du SIDA et de sa vérité.
Toujours selon le docteur, il a adressé une demande de soutien auprès du feu président Maréchal du Tchad, Idriss Deby Itno, les ministères, les députés, les ambassadeurs, les religieux de toutes confessions, les ONG, les banques et les directeurs de différents organismes. Parmi tous ceux qu’il a cité, sauf le feu Maréchal qui a répondu favorablement à sa demande en donnant des instructions au ministère de la santé publique de construire les centres à Moundou, Sarh, Koumra, Moïssala, Goré, Bénoye, Kelo, N’Djaména, et Abéché. Mais jusqu’à présent, ces centres ne sont pas construits, ni l’argent l’a été versé. Même le ministre qu’il l’a orienté refuse de le recevoir indique-t-il.
‘’En 2019, le Maréchal du Tchad a répondu positivement pour qu’ils me construisent les centres mais ils m’ont refusé l’argent tout comme la construction, encore en 2020, il m’a remis un autre papier toujours pour la construction de ces centres rien jusqu’à présent. Si j’étais un docteur moderne, on allait me donner cet argent pour la construction de mes centres, malheureusement, je suis Tradi-praticien, pire encore, je ne fréquenté. Si j’ai des diplômes, alors ils allaient me construire ces centres ou de me donner cette somme, mais parce que mes yeux ne sont pas ouverts’’ déplore-il.
Il est bon de dire la vérité, car pour lui, c’est une discrimination. Il souligne qu’il y a trop de division, alors il veux s’en aller dans un autre pays et si ce pays d’accueil accepte de transformer son produit en comprimé pour que les gens prennent, afin qu’ils puissent retrouver la santé que de rester au pays pour que le produit ne tend pas vers sa perdition. C’est la raison qui le pousse à quitter le pays.
Les docteurs(médecins) m’ont dit encore : ‘’Il faut que je parte dans un autre pays et que le pays qui accepte de transformer mes produits, alors le Tchad ira acheter pour amener à sa population car, ils n’accepteront jamais avec moi’’ lance-t-il en ce terme.
Des milliers des personnes venues assister à la commémoration du 18 anniversaire de ce centre et certains ont témoigné de l’efficacité de ses produits ayant guéris a maladie du SIDA et d’autres maladies.