A l’occasion de l’anniversaire du centre de santé Gueldanga de la voie sainte contre le sida et toutes autres maladies qui ce célèbre chaque mois de juillet couplé avec les soins gratuits pendant deux jours (2) au sein du centre, a animé une conférence de presse ce mardi 04 juillet 2023 à son siège situé au quartier Walia dans la commune du 9ème arrondissement de la ville de N’Djaména pour dénoncer le refus par les autorités de la mise en dispositions de ces produits afin de guérir les malades du sida et autres maladies.
D’entrée de jeux, le responsable du centre de santé Gueldanga de la vie sainte contre le sida et toutes autres maladies M. Mokembaye Joël dans sa déclaration, a indiqué qu’il a commencé à soigner et guérir les malades du sida et bien d’autres maladies depuis le 04 juillet 2004 jusqu’ aujourd’hui, vingt (20) ans de service. Pendant toutes ces années, il donne souvent des soins gratuits pendant deux(2) jours en janvier et en juillet mois d’anniversaire. ‘’Curieusement pour cette année en cours, on me dit de demander pardon avant de reprendre normalement mes activités. Et on me dit encore, qu’après avoir demandé le pardon que je dois remettre mes plaques d’indication ou écrire des mots sur le portail de ma maison ou sur les murs. Alors que je me demande, à qui je dois demander le pardon, pour quelle raison’’, se pose-t-il.
Certains médecins en complicité avec certains tradi-praticiens et autorités cherchent à faire perdre en vue de faire disparaître ce médicament mais c’est Dieu qui n’a pas voulu et a rejeté leur plan. Les médecins qui doivent être de mon côté pour le soutien et m’aider afin qu’il soient transformé en comprimé pharmaceutique. Selon lui, ces médecins le considèrent comme ennemi à battre sans comprendre que la transformation en comprimé peut aider le Tchad. Certains médecins ou autorités, n’ont pas vérifié, parmi eux affirment que qu’il n’a aucun papier comme autorisation de fonctionner. D’autres disent qu’il n’appartient à aucune association des tradi-praticiens et qu’il est entrain de perturber le gouvernement, a-t-il ajouté.
« J’ai demandé aux autorités de me livrer cent (100) personnes malades du sida et de m’accorder deux (2) jours pour tester de ce médicament pour qu’ils puissent suivre un traitement de six (6) mois gratuitement. Et si rien n’a été donné comme résultat, faire ce que vous semble bon. Le sida tue les enfants, les personnes âgées, les gouvernants, les médecins, tout le monde », a-t-il exprimé en ce terme.
Achakir Abdelwakil