A travers un point de presse animé ce mardi 18 juin 2024,
Wakit tamma section politique exige aux autorités françaises de quitter le pays et appelle les tchadiens et de la diaspora de se mobiliser.
Le chargé de communication de Wakit Tamma section politique M. Amadou Ben Agadou, a tout d’abord exprimé sa gratitude et reconnaissance envers toutes les associations, leaders de la société civile et politiques de joindre à eux pour ce travail ardant représentant dès lors, leurs aspirations africaines et étiques tchadiennes tel qu’inscrit pour leur coalition. Wakit Tamma section politique dénonce le comportement et actions planifiées par les acteurs français néo-colonialistes et leurs acolytes depuis fort longtemps. Des événements récents entretenus par certains de leaders avérés matérialistes, ont fait la lumière sur quelques actions contraires à nos principes fondamentaux, a-t-il déclaré.
Selon lui ce dommage pendant plus de 40 ans, le Tchad se retrouve en dernière position au monde, sous plusieurs angles par la faute du comportement anti africain prôné par la France. A ce tableau sombre, la jeunesse tchadienne dit aujourd’hui : Assez, ça suffit, halte à la France. A l’horizon 2030, cette jeunesse représentera 70 à 80% et ensemble refuse d’être complice de cette macabre planifiée par les autorités françaises. Elle refuse d’être sacrifiée pour l’intérêt de la génération future française. Elle refuse la décadence que la France veut imposer après avoir asservi les générations passées, a-t-il ajouté.
Par ailleurs, Wakit Tamma section politique exige entre autres : le départ des bases militaires françaises du sol Tchadien sans conditions; La France doit reconnaitre les crimes organisés tant au Nord qu’au Sud du pays depuis 1900 à nos jours et exige des réparations pour ces actes; La communauté international doit inscrire la France sur la liste des pays terroristes pour avoir non seulement déstabilisé la Lybie mais aussi déstabilisé la sous-région pendant des décennies. Il appelle tous les Tchadiens et ceux de la diaspora de se mobiliser pour le départ de la France de notre pays, a-t-il conclu.
Achakir Abdelwakil